Piégée dans un donjon et contrainte de devenir soumise

Catégories : FANTASME Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 8 ans

Marylou, ma colocataire, fait des heures de ménage pour arrondir ses fins des mois. Un soir, elle m’a annoncée qu’elle avait trouvée une cliente très « space » qui la payait généreusement et qui avait un appartement avec un donjon de folie. Connaissant mes inspirations et fantasmes, elle attisa ma curiosité. Plutôt que me le décrire, la proprio étant absente pendant un mois cette garce me proposa avec des mots choisis d’aller le visiter.

Les fonctions de Marylou étaient de nourrir le chat et d’entretenir la maison puis de relever le courrier. Elle avait eu sans aucune crainte le temps d’explorer les moindres recoins d’une magnifique demeure du début di siècle. Elle avait trouvé les clés de la pièce interdite par hasard sous le pot d’une plante verte. Nous voilà donc parties un soir toutes les deux dans la maison de chez cette proprio très particulière attisant ma curiosité. L’alarme débranchée, elle me fit visiter les lieux y compris les chambres dont chacune représentait la surface de notre appartement. Le mobilier était du même acabit, du luxe à l’état pur. La porte du dit donjon ouverte, mes sens s’enflammèrent à la vue du décors. Il y avait des étagères remplies de sextoys de toute sorte, des râteliers avec des accessoires du type fouet, cannes anglaises, paddles, ainsi qu’une table d’obstétrique et une croix de Saint André au milieu de la pièce.

Tout ce matériel ainsi que les murs rouges, noirs et gris à certains endroits dégageaient une ambiance très particulière et surtout très troublante. Marylou me fit découvrir les accessoires des recoins et meubles en me déclarant qu’elle était excitée à chaque fois qu’elle entrait dans cette pièce et jouait avec des trucs sans me préciser quoi.

  • Le top du top c’est cette croix de Saint André, elle est mobile et offre des perspectives de folie. Tu devrais l’essayer toi qui fantasmes là dessus ! Me dit Marylou en me prenant par la main.

Etant un peu dans un état second, je ne me suis pas méfiée et laissée conduire à ce carcan maléfique. Elle entrava mes poignets et mes jambes en me demandant ce que j’en pensais et si je me voyais dessus offerte à un Maître sadique. Histoire de me faire un souvenir et pourquoi pas des photos pour le site de rencontres BDSM Fessestivites, elle sortit son téléphone portable et prit des photos de moi entravée sur la croix malgré mes « non » et « arrête ». Puis, sans même me prévenir, elle fit basculer la croix à l’horizontale. Entravée sur le dos couchée jambes écartées, malgré la gêne j’étais dans mes délires personnels au-delà de mes fantasmes à elle inavoués. Marylou, souleva ma jupe pour exposer ma petite culotte et découvrit une petite tache au niveau de l’entrejambe.

  • Salope, ça te fait mouiller d’être attachée là-dessus !

Malgré mes réfutations et suppliques, elle tint à me faire découvrir « des trucs » ! Cette garce lesbienne ne se priva pas d’écarter ma culotte et de me faire découvrir le vibromasseur magic wand. Ce vibromasseur diabolique me fit bondir dans mes entraves. Alors que je me tortillais pour lui échapper, Marylou entreprit de fouiller mon chaton avec ces doigts malicieux malgré mes « non » à répétition.

  • Tu m’ennuies à dire « non » tout le temps ! Putain profite de l’instant présent et laisses-toi aller au plaisir merde ! Je vais te faire vibrer ma belle et te rendre dingue, tu es trop craquante là-dessus.

Marylou m’abandonna un instant pour aller chercher des pinces à sein qu’elle posa sans aucune gêne sur mes tétons après avoir ouvert ma robe d’été sous laquelle je ne portais pas de soutien-gorge. Elle entreprit ensuite mon chaton exposé avec ses doigts maléfiques en continuant de titiller mon bouton plaisir avec le magic wand massager. Soudain une idée plus perverse lui vint : me combler le chaton ! Sur une des étagères je la vis prendre un gros plug puis un plug avec une queue de renard. Même si je suis une jeune étudiante, ayant beaucoup surfé sur les boutiques et sites, ce matériel ne m’est pas inconnu, je savais à quoi ils servaient et leur destination. Au plus je criais « non » ou « arrête » au plus elle s’excitait.

Quand elle a enfoncé le plug dans mon chaton, s’en était trop, j’ai commencé à hurler, à l’insulter et à la menacer. Marylou s’est arrêtée net. Elle a encore fait des photos de moi en mauvaise posture puis du plug profondément logé en moi. Elle est ensuite venue à côté de ma tête pour me faire voir ses « putains » de photos.

  • Regarde comme tu es belle en soumise ! Quand je vais envoyer les photos de toi sur la croix de Saint André avec tes pinces à sein, puis de ta chatte avec le plug sur mon facebook tu vas avoir du succès à la fac.

  • Tu ne vas pas faire ça ! Arrête je t’en supplie.

  • Cela dépendra de toi !

  • Regarde, je me les envoie sur mon hotmail pour commencer, après c’est toi qui décideras.

  • Mais tu veux quoi à la fin MERDE !

  • Tu n’arrêtes pas de m’allumer à l’appart, il est temps pour toi de payer l’addition. En plus tu fais ta pimbêche friquée parce que tes vieux ont du pognon et te vantes de tes notes en faisant la fière quand je rame. Tu crois que je n’ai pas vu ton jeu ? Cela te plait de te croire supérieure à tout le monde connasse ? Pendant que moi je fais du ménage chez les gens pour payer mes études, Libellule69 surfe sur des sites BDSM et se branle.

  • Comment connais-tu mon pseudo ?

  • Tu as juste oublié d’éteindre ton PC la semaine dernière, j’ai eu le temps de bloquer la mise en veille et de surfer sur tes sites préférés. Je connais tes fantasmes, tes délires, les contacts que tu allumes comme une grosse salope que tu es. Cela serait sympa que tes vieux apprennent que tu profites de leur fric pour aller sur des sites de cul non ?

  • Mais tu veux quoi à la fin MERDE !

  • Que tu sois ma soumise !

  • Jamais, tu entends JAMAIS !

  • OK donc ton Facebook cul c’est bien Libellule69 et celui où tu fais la belle étudiante sage c’est Petit-ange69 ? Comme tu m’as prise en amie, je vais agrémenter le mur de tes Facebook, je suis sûre qu’il y en a qui vont aimer....

  • Non s’il te plait ne fais pas ça !

  • C’est toi qui décides !

  • Mais tu veux quoi ?

  • Que tu sois ma petite soumise.

  • C’est du chantage et en plus, je n’aime pas les filles.

  • Oui, mais les photos de toi souriante dans un donjon entravée sur une croix les seins à l’air avec un plug dans la chatte ..... cela ne paraîtra pas du chantage. Aller, passons aux travaux pratiques !

Bloquée sur la croix de Saint André, pour sortir de cette impasse je me suis dit que je devais accepter au moins le temps de trouver une solution. Quand avec un sourire jusqu’au oreilles elle s’est mise nue, j’ai commencé à prendre peur. Avec un regard de louve qui va dévorer sa proie elle est venue enjamber ma tête.

  • Commence par lécher ma chatte, elle a envie de ta langue !

  • Pas ça s’il te plait !

Une douleur fulgurante a embrasé mes tétons quand Marylou a tiré sur les pinces à sein. Pour ne pas souffrir j’ai embrassé son chaton à la va vite mais elle en voulait plus. Sa main gauche a attrapé mes cheveux pour plaquer mon visage entre ses cuisses.

  • Lèche bien, applique-toi, tu n’as qu’à imaginer que c’est ton Maître qui te l’impose. M’a ordonnée Marylou en tirant sur les pinces à sein.

Cette satanée croix de Saint André se mettant en position horizontale, je ne pouvais pas être plus offerte à ses délires. Marylou s’éclatait en tirant sur mes cheveux et les pinces posées sur mes tétons en feu. Le nez entre ses fesses j’ai lapé ses lèvres intimes trempées, berk. Elle m’a annoncé qu’elle allait me donner des cours à coup de cravache si je ne faisais pas mieux. J’ai donc lutiné son clitoris en essayant de me débarrasser au plus vite de cette situation monstrueuse. Les clics clics de son téléphone mobile m’ont permis de comprendre que cette salope continuait de faire des photos.

Marylou s’est soudain retirée en m’indiquant qu’elle allait me donner des cours. J’ai cru qu’elle allait me frapper, ses idées étaient tout autre. Agenouillée entre mes jambes elle m’a dévoré le chaton pendant qu’elle jouait avec le plug. Au moment où ses doigts se sont attaqués à mon petit trou j’ai hurlé des « non » qu’elle n’a pas écouté. Cette garce a réussi à loger entre mes fesses le petit plug agrémenté d’une queue de renard tout en me dévorant le clitoris. Les mouvements simultanés de sa langue ultra habile et des sextoys dans mes orifices ont commencé à me faire chavirer. Quelques minutes plus tard, quand elle a entrepris de me faire jouir avec le magic wand j’ai immédiatement compris que je ne pourrai pas résister longtemps. Marylou s’acharnait sur les sextoys logés en moi et sur le vibromasseur diabolique, une vague de contraction est arrivée du plus profond de mon ventre et a laminé toute ma retenue sur son passage. La jouissance m’a terrassée, démontée, je me tordais comme une damnée sur la croix, jamais au grand jamais je n’avais éprouvé quelque chose d’aussi intense.

La tête dans le vide, je n’étais plus qu’un corps sans vie qu’elle continuait de photographier dans tous les sens. Marylou a ensuite fait pivoter la croix pour la remettre en position verticale, si je n’avais pas été entravée je me serais écroulée comme une crotte sur le plancher du donjon. Le gros plug que j’avais dans le chaton est tombé, elle l’a rattrapé au vol.

  • Je croyais que tu n’aimais pas les filles, à priori tu n’as pas détesté salope, tu dégoulinais grave. M’a dit Marylou en me délivrant pour me faire mettre à quatre pattes. Aller avance un peu petite soumise, tu es très belle comme ça en chienne lubrique.

La tête encore dans les étoiles, j’ai obéis sans réfléchir, sans honte, je n’étais plus vraiment moi mais bien sa soumise.

La fin de l’année scolaire fut d’un autre monde, un monde saphique et BDSM. J’ai du brouter son chaton pendant des heures, faire le ménage et la cuisine entièrement nue, parfois équipée d’une queue dans les fesses. Marylou n’a jamais rien diffusé sur le net et m’a avoué que son chantage n’avait qu’un but : me conquérir en utilisant mes fantasmes. Depuis ce jour là nous ne nous sommes plus quittées, je suis sa chose et heureuse de l’être. Le pseudo de ma Maîtresse est tatoué sur mon pubis.

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